Disparues de nos paysages urbains ou ruraux après tant d’années de service.

Usées, maltraitées jusqu’au bout du fil.

Maquillées de peintures, de graffitis, voire de scarifications.

Brûlées, brisées, martyrisées elles restaient toujours dressées, fières, libres….

 

Les cabines téléphoniques

 

Elles semblent toutes identiques, mais sont toutes aussi différentes !

 

Lieux de rencontres ou d’abris, témoins muets de tant d’histoires humaines ou de secrets.

J’ai voulu, un an avant leur disparition, en garder l’image.

Photos de ces vestiges si vivants, en me fixant une seule contrainte : ne pas rester plus d’une demi heure par cabine.

 

  

 

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